S’appuyant sur l’iconographie inédite puisée en bonne partie dans la documentation et les archives d’Hergé,Philippe Goddin, éclaire et commente tout à la fois l’élaboration et la publication de ce récit. Il souligne et explique les nombreuses différences entre les 75 planches au format à l’italienne de cette version, conçue en totale liberté, et l’album de 1949, contraint par la norme des 62 pages. Il restitue le quotidien de l’auteur de Tintin en cette période tourmentée, et donne à penser qu’au-delà des protagonistes de son récit, c’est sur le créateur lui-même que la fameuse malédiction s’exerçait.
Bonne lecture... et bonne frousse en compagnie de Rascar Capac !